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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 09:30

des-petits-pas-sur-le-sable-mouille.gif

"L'histoire commence sur une plage, quand Anne-Dauphine remarque que sa petite fille marche d'un pas un peu hésitany, son pied pointant vers l'extérieur. Après une série d'examens les médecins découvrent que Thaïs est atteinte d'une maladie génétique orpheline. Elle vient de fêter ses deux ans et il ne lui reste que quelques mois à vivre. Alors l'auteur fait une promesse à sa fille : "Tu vas avoir une belle vie. Pas une vie comme les autres petites filles, mais une vie dont tu pourras être fière. Et où tu ne manqueras jamais d'amour". Ce livre raconte l'histoire de cette promesse et la beauté de cet amour. Tout ce qu'un couple, une famille, des amis, une nounou sont capables de mobiliser et de donner. Il faut ajouter de la vie aux jours, lorsqu'on ne peut plus ajouter de jours à la vie"

 

 

*****

 

 Il s'agit là d'un magnifique témoignage de courage, d'amour et de force de caractère car ce que ne dit pas la quatrième de couverture c'est que l'auteur est enceinte et que, un malheure ne venant jamais seul, après l'accouchement elle apprend que son bébé est atteint de la même maladie avec toutefois l'espoir de le sauver par une greffe de moelle osseuse.

 

C'est un livre qui est très bien écrit, qui se lit plus ou moins facilement en fonction du degré de sensibilité du lecteur et qui permet d'appréhender tous les apsects de cette terrible maladie.

 

J'ai été très touchée par cette histoire et j'avoue qu'en posant les yeux sur mes enfants dont la petite dernière vient d'avoir un an, je me suis dis que j'avais de la chance qu'ils soient en bonne santé tout en jetant un oeil plus appuyé sur la façon de marcher de ma petite fille.

 

Bref, un livre à lire absolument!!!

 



 

 

 


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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 08:33

franz-stangl-et-moi.jpg

""Au début il y aurait eu cet homme, Franz Stangl, né en autriche en mars 1908, bon professionnel de la police autrichienne, embauché par l'Histoire dans la Gestapo, rapidement monté en grade, d'abord surintendant à l'un des hôpitaux du programme d'extermination des handicapés, puis commandant du camp d'extermination de Treblinka en 1942. Sa dernière promotion. De là, l'Italie, la défaite, la fuite, le faux nom et l'installation au Brésil. De longues et belles années jusqu'à l'arrestation en 1967, l'extradition en Allemagne, le procès, la condamnation à perpétuité, pui l'appel. Au début du récit, il y aurait pourtant cette phrase prononcée la veille de sa mort, "je n'ai plus d'espoir", presque une phrase finale, précédée d'un "à présent j'ai tout dit pour la première fois", le différenciant cette fois radicalement des autres responsables et qui entamerait la dernière période de son existence, environ vingt-quatre heures, l'engageant de façon inattendue dans une voie presque contraire à ce qu'il avait vécu jusque-là. D'où mon attrait peut être, le désir d'en savoir plus. Une entrée en matière en tous cas, et ce Franz Stangl et moi venu d'emblée, en une fois".

 

*****

 

J'ai lu ce livre grace à Chapitre - Vos librairies partout en France d'Orléans qui m'a prêté ce livre dans le cadre du club de lecture créé pour les bloggeurs.

 

Ce roman n'est en fait abolument pas un roman mais s'apparente plutôt à un essai ou à une longue litanie sans queue ni tête.

 

Moi qui, en lisant la quatrième de couverture, pensais découvrir l'histoire d'un nazi et comprendre comment des êtres humains ont pu faire ces atrocités et vivre avec, quelle ne fût pas ma déception.

 

En fait on en sait plus sur la vie de Franz Stangl en lisant la quatrième de couverture que pendant tout le livre.

 

De plus le style est très hachuré, ce ne sont que des suites d'expression mises les unes derrière les autres, des multitudes de questions et pas de réponses. Il y a en réalité très peu de paragraphes qui soient constitués de vrais phrases.

 

Je l'ai lu jusqu'au bout mais n'ai trouvé aucun intérêt à ce livre que j'ai été ravie de refermer. 

 

Bref un livre à éviter!!!!!

 

 


 


 


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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 07:54

les-morues.gif

" C'est l'histoire des Morues, trois filles et un garçon, trentenaires féministes pris dans leur turpitudes amoureuses et professionnelles. Un livre qui commence par un hommage à Kurt Cobain, continue comme un polar, vous happe comme un thriller de journalisme politique, dévoile les dessous de la privatisation des services publics et s'achève finalement sur le roman de comment on s'aime et on se désire, en France, à l'ère de l'internet. C'est le roman d'une époque, la nôtre".

 

*****

Belle présentation, n'est-ce pas? Mais tellement loin de la réalité de ce roman!!!


Pour ceux qui connaissent la collection Red Dress Ink de chez Harlequin, il n'y aura pas de dépaysement car ce roman aurait pu s'intégrer bien facilement dans cette collection.

 

Ce n'est absolument pas un polar ni un thriller, c'est juste un petit roman d'amours.

 

Certes, il y a bien un fond de "meurtre ?" à résoudre mais l'intrigue est tellement mal ficelée qu'elle en devient très secondaire parmi les déboires amoureux des personnages.

 

Les personnages sont plats, superficiels et on ne s'attache pas du tout à eux, on suit leur vie amoureuse sans grand intérêt pour finalement refermer ce roman en se disant qu'on n'en sait pas plus à la fin qu'au début.

 

Bref, un roman qui ne mérite pas qu'on s'y attarde.

 



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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 16:33

la-ballade-de-l-impossible.gif

"Au cours d'un voyage en avion, le narrateur entend une chanson des Beatles : "Norwegian Wood". Instantanément, il replonge dans le souvenir d'un amour vieux de dix-huit ans. Quand il était lycéen, son meilleur ami, Kizuki, s'est suicidé. Kizuki avait une amie, Naoko. Ils étaient amoureux. Un an après ce suicide, le narrateur retrouve Naoko. Elle est incvertaine et angoissée. Il l'aime ainsi. Une nuit elle lui livre son secret, pui disparaît...".

 

*****

Bien mystérieuse cette quatrième de couverture !!! Il n'en fallait pas plus pour me décider à aller me "ballader" pour poursuivre ma découverte des oeuvres de Haruki Murakami. 

 

Ne cherchez pas le coté irréel propre à l'auteur car ce roman est bien ancré dans la réalité.

 

On y découvre Watanabe, jeune étudiant, amoureux de Naoko, une jeune fille assez perturbée qui a choisi de partir vivre dans un endroit un peu spécial dans la montagne où tout n'est que calme et sérénité, un monde à part.

 

Watanabe attend désespérément le retour de Naoko pour pouvoir vivre avec elle leur amour.

 

Il rencontre entre temps Midori une jeune étudiante comme lui, dynamique, enjouée bref l'opposée de Naoko, angoissée, timide.

 

Laquelle va-t-il choisir? Vous le saurez en lisant ce roman.


Ce roman est très agréable à lire si l'on ne tient pas compte des scènes à caractère sexuel trop nombreuses à mon goût et qui sont décrites en des termes plutôt crus. Je prèfère quand les choses sont suggérées ou au moins décrites de manière un peu plus "poétique". Mais à part cet aspect "négatif", ce roman a su me tenir en haleine et m'entraîner jusqu'à la fin pour connaître le dénouement de l'histoire.

 

Bref, un bon moment de lecture mais je dois dire quand même que pour l'instant,  ce roman est celui que j'ai le moins aimé des romans de cet auteur.

 


 


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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 15:51

beyrouth-canicule.gif

"Années 70. Palestiniens et Isréliens se livrent une guerre sans merci : prise d'otages de Munich, coups d'éclats de Septembre Noir...A Paris, Kamel, étudiant algérien idéaliste et bon vivant, s'engage auprès de compatriotes militant pour la démocratie en Algérie. Comme eux, il se sent solidaire de la cause palestinienne. Aussi, lorsque le charismatique chef du mouvement l'investit d'une mission secrète au Liban, se voit-il incapable de refuser.

Mais Kamel à Beyrouth, c'est un peu Candide au pays du Cèdre. La valise orange à double fond est bien trop voyante pour ne pas être reprée...Pris dans la tourmente d'un pyas au bord de l'explosion, ballotté au gré de rencontres déconcertantes ou d'enjeux politiques qui le dépassent, Kamel vogue de galères en surprises"

 

*****

Tout d'abord un grand merci à Livres en ligne, Libfly, la bibliothèque communautaire et aux éditions Elyzad pour m'avoir fait découvrir cet auteur que je ne connaissais pas.

 

Ce fût un très agréable moment de lecture même si je n'ai pas trouvé ce roman, au demeurant assez bien écrit et se lisant facilement, aussi passionnant que ce à quoi je m'étais attendue en lisant la quatrième de couverture.

 

Il a manqué, à mon sens, un peu plus d'action et de suspens.


Kamel, le personnage principal, qui m'a beaucoup fait penser à Pierre Richard dans "Le grand blond avec une chaussure noire", est très attachant dans son rôle de "passeur" raté et on suit ses aventures avec plaisir mais sans grand enthousiasme.

 

En fait j'ai eu l'impression de lire une parodie de roman d'espionnage tant les personnages ne ressemblent guère à de vrais "terroristes" : "Ben chausse des lunettes écaille suspendues à son cou par un fil tressé".

 

Bref, un bon moment de lecture mais sans plus.

 

 

A la découverte de deux éditeurs du Maghreb sur Libfly                      

 

 

 


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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 14:41

le-troisieme-pole.jpg

 

"1912, au Cap Nord en Norvège. Un enfant est atrocement sacrifié au nom d'un rituel à Gaïa. 1196, à Jökulsarlon en Islane. Le coprs d'une jeune femme nue et entièrement recouvert de tatouages est découvert, emprisonné dans la glace. Novembre 2010,à Spitzberg entre la Norvège et le Pôle Nord. Smila une jeune paléoclimatologue française tente de rejoindre son père, chercheur sur la base de Ny-Alesund pour lui apporter une série de documents qu'il lui a demandés. Mais au moment où elle arrive sur la base, celle-ci est attaquée et mise à sac par un groupa d'hommes surentraînés. Le père de Smila meurt dans l'incendie de Ny-Alesund avant d'avoir pu lui révéler l'objet de ses recherches. Que cherchait à détruire ce gang? Quelles recherches menait le père de Smila? Quels secrets renferment les documents du père de Smila? Dans cette enquête qui la mènera aux quatre coins du monde, la paléoclimatologue découvrira qu'une sombre organisation cherche à troubler l'ordre mondial..."

 

*****

 

Tout d'abord un énorme merci à Logo MyBOOX et plus particulièrement à Thomas pour m'avoir proposé de recevoir ce roman en échange d'une chronqiue.

 

Voilà un roman qui m'aura permis de terminer mon année livresque en beauté.

 

Je le dis tout de suite, j'ai ADORE lire ce roman.

 

Après un début un peu "spécial", une secte qui tente de sacrifier un petit garçon pour une déesse, les choses reviennent dans la "normalité" et c'est parti pour une histoire ultra moderne qui plonge le lecteur au coeur d'une aventure très bien ficelée avec des rebondissements savamment orchestrés et qui vous font tourner les pages envore et encore....

 

On y suit les avntures de Smila dont la vie est bouleversée par l'assassinat de son père et qui a bien failli lui couter la vie. 

 

A sa sortie du coma, elle devient la proie des "méchants" et c'est là que commencent les ennuis pour elle et l'envie insatiable de connaître la suite pour le lecteur.

 

L'auteur a su alterner des passages violents où ça tire dabs tous les sens et d'autres beaucoup plus clames, propices au développement de relations amicales entre l'héroïne et les personnages secondaires qu'elle rencontre et cette alternance est plutôt plaisante. On apprend ainsi à bien connaître les personnages qui sont extrêmement bien décrits (même les "méchants" ont le droit à une petite présentation de leur coté "humain") et auxquels on s'attache plus ou moins en fonction du camp dans lequel ils se trouvent.

 

C'est un roman très bien écrit où l'auteur a su mélanger tous les bons ingrédients d'une histoire réussie (amitié, amour, action, suspens...) et qui m'a embarquée jusqu'à la dernière page... que j'ai tournée avec regret.

 

Bref, c'est un excellent roman qui tient en haleine jusqu'au bout et qui mériterait, selon moi, une adaptation au cinéma tant il est au coeur de l'actualité.


 


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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 10:00

une-femme-fuyant-l-annonce.jpg

"Ora, une femme séparée depuis peu d'Ilan son mari, quitte son foyer de Jérusalemn et fuit la nouvelle inéluctable que lui dicte son instinct maternel : la mort de son second fils, Ofer, qui, sur le point de terminer son service militaire, s'est porté volontaire pour une "opération d'envergure" de 28 jours dans une ville palestinienne, nouvelle que  lui apporteraient l'officier et les soldats affectés à cette terrible tâche. Mais s'il faut une personne pour délivrer un message, il en faut une pour le recevoir, pense Ora. Tant que les messagers de la mort ne la trouvent pas, son fils sera sauf. Aussi décide-t-elle, sans aucune logique, pour conjurer le sort, de s'absenter durant ces 28jours en se coupant de tout moyen de communication qui pourrait lui apporter la terrible nouvelle. Ayant prévu une randonnée à travers le pays avec Ofer, elle part malgré tout. Au passage, elle arrache à sa torpeur Avram, son amour de jeunesse (le père d'Ofer?) et l'emmène avec elle sur les routes de Galilée pour lui raconter leur fils. Elle espère maintenir en vie son enfant par la trame de mots qui dessinent sa vie depuis son premier souffle, et lui éviter ainsi le dernier. Le périple ici est l'occasion d'évoquer le passé : à mesure qu'Ora et Avram arpentent le pays à la beauté étonnante, se reconstitue le fil de la mémoire et des secrets qui enserrent les personnages. Ora, Ilan et Avram s'étaient liés, adolescents, pendant la guerre des Six jours dans un hôpital où ils étaient tous les trois à l'isolement, alors que les combats faisaient rage à l'extérieur. C'est là que se sont noués les destins de chacun. Le stratagème de la mère réussira-t-il à préserver la vie du fils? Quoi qu'il arrive, le récit le fait renaître avec une vigueur nouvelle."

 

*****

Tout d'abord un grand merci à la librairie Chapitre à Orléans de m'avoir prêté ce livre dans le cadre du club de lecture des blogeurs.

 

L'histoire semblait intéressante, une mère qui préfère s'enfuir et rester dans l'incertitude du devenir de son fils parti à la guerre plutôt que d'affronter la triste réalité.

 

Mais voilà, ce roman n'a pas tenu cette promesse et j'en ai abandonné la lecture à un tiers. 

 

Certes, ce roman est bien écrit, les personnages sont très attachants mais il y a trop de longueurs qui rendent cette lecture plutôt ennuyeuse.

 

Ce roman commençait pourtant bien, s'ouvrant sur la vie d'Ora et d'Avram, de jeunes adolescents très liés, enfermés dans un hôpital très mystérieux. Puis apparaît Ilan dont on ne sait rien. 


Puis un bon en avant pharamineux et on découvre qu'Ora a épousé Ilan et eu deux fils avec lui dont elle est maintenant divorcée. 

 

Tout cela est bien mystérieux et on meurt d'envie de découvrir ce qui a pu se passer, pourquoi Ora a-t-elle choisi Ilan au lieu d'Avram dont elle semblait plus proche?

 

Seulement la suite de ce roman se perd en un long récit de la vie actuelle d'Ora qui voit partir son fils, volontairement, à la guerre et qui décide de partir en emmenant Avram devenu un "mort-vivant", sale, shooté aux médicaments.

 

Et c'est là que mon intérêt pour ce roman s'est envolé pour ne plus revenir, même après une petite pause avec un autre roman.

 

J'avais envie de savoir ce qui avait pu se passer entre les trois personnages pour qu'Ora préfère Ilan à Avram mais les longueurs et le manque d'action ont eu raison de ce mystère.

 

A mon sens, il aurait peut être fallu intercaler des chapitres racontant justement comment Ora en était arrivé là, ne serait-ce que pour dynamiser le récit et maintenir l'intérêt du lecteur.

 

Bref, ce roman n'a pas su me captiver.

 

      


 



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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 08:36

storyteller.jpg

"Tom Valle, ancienne star du journalisme new-yorkais, a vu sa carrière brisée lorsqu'il fut découvert que certains de ses articles pour un grand quotidien national étaient des histoires inventées de toutes pièces. Depuis, il survit en couvrant les évènements locaux pour un petit journal californien...jusqu'au jour où un accident de la circulation, en apparence banal, le met sur la piste d'une affaire de tout premier plan. Usant de ses remarquables dons d'investigation, il ne tarde pas à découvrir un véritable complot aux ramifications politiques nombreuses. Mais qui peut encore lui faire confiance? Affrontant un ennemi invisible aux moyens illimités, traqué par des tueurs lancés à ses trousses, c'est seul contre tous et au péril de sa vie qu'il va, coûte que coûte, poursuivre son enquête."


*****

 

Tout d'abord je tiens à remercier Newsbook (link)pour m'avoir choisie pour ce partenariat (mon premier) avec les éditions Le Cherche-Midi (link) qui m'a permis de découvrir un auteur que je connaissais pas et dont je vais maintenant m'empresser de lire les autres romans.

 

Le gentil petit mot d'accompagnement qui était joint à ce roman m'annonçait "une lecture haletante garantie"... Et ce fut vrai, j'ai adoré ce roman que j'ai dévoré en quelques jours.

 

Déjà la couverture est sublime et invite à la lecture.

 

Et puis dès les premières pages, la mayonnaise prend et il est impossible de sortir de l'histoire qui vous entraîne aux côtés de Tom Valle dans une enquête dangereuse et captivante.

 

Le personnage principal, Tom Valle, apparaît immédiatement comme un jeune homme très sympathique, auquel on s'attache et dont on a envie de suivre les "aventures". En même temps, comment ne pas aimer un homme qui, malgré l'étiquette de menteur qui lui colle à la peau depuis ses déboires new-yorkais, continue d'exercer ce même métier de journaliste qui lui a valu tous ses ennuis. 

 

Le récit est très bien mené avec des retours en arrière sur la vie passée de Tom Valle qui permettent de mieux appréhender le personnage ; les indices sont disséminés judicieusement , il n'y a aucun temps mort et l'intrigue se déroule de manière cohérente jusqu'à la révélation finale.

 

Bref, c'est un excellent thriller dont je conseille vivement la lectures aux fans du genre.

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 09:27

les-vaches-de-staline-copie-1.jpg

"Les "vaches de Staline", c'est ainsi que les Estoniens déportés désignèrent les maigres chèvres qu'ils trouvèrent sur les terres de Sibérie, dans une sorte de pied de nez adressé à la propagande sociétique qui affirmait que ce régime produisait des vaches exceptionnelles. C'est aussi le titre du premier roman de Sofi Oksanen, dont l'héroine, Anna, est une jeune Finlandaise née dans les années 1970, qui souffre de troubles laimentaires profonds. La mère de celle-ci est estonienne, et afin d'être acceptée, cette femme tente d'effacer toute trace de ses origines, et de faire taire les peurs et les souffrances vécues sous l'ère sociétique. Ne serait-ce pas ce passé qui hante encore le corps de sa fille? "

 

*****

 

J'avais bien aimé Purge, aussi me suis-je lancée dans la lecture du premier roman de Sofi Oksanen ; j'aurais dû m'abstenir tant je n'ai pas accroché à cette histoire.

 

Certes, ce roman se lit facilement, les chapitres sont très courts, mais l'histoire est inintéressante au possible, le récit est beaucoup trop haché, brouillon et confus et les personnages sont décrits de manière beaucoup trop superficielle pour les rendre attachants.

 

On passe de la vie d'Anna à celle de Katerina, sans qu'aucune des deux ne soit véritablement entraînante.

 

Je l'avais laissé en stand by à la page 120 et avais intercallé une autre lecture, pensant que peut être ce n'était pas le bon moment mais après une reprise je n'ai pas dépassé la page 146 et ai refermé ce roman avec l'impression que ce roman n'avait été publié en France que pour surfer sur le succès de Purge.

 

Bref, c'est roman qui ne m'a pas intéressée du tout.

 



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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 14:34

equation_africaine.jpg

"A la suite d'un terrible drame familial, et afin de surmonter son chagrin, le docteur Kurt Krausmann accepte d'accompagner un ami aux Comores. Leur voilier est attaqué par des pirates au large des côtes somalilennes, et le voyage "thérapeutique" du médecin se transforme en cauchemar. Pris en otage, battu, humilié, Kurt va découvrir une Afrique de violence et de misère insoutenable où "les dieux n'ont plus de peau aux doigts à force de s'en laver les mains". Avec son ami Hans et un compagnon d'infortune français, Kurt trouvera-t-il la force de surmonter cette épreuve? "

 

*****

 

Je ne connaissais pas cet auteur et c'est une belle découverte.

 

C'est un roman très touchant qui se lit très facilement et qui plonge le lecteur au coeur de l'horreur.

 

Kurt est un personnage très attachant. Fou de douleur après le suicide de sa femme, il se retrouve pris en otage avec son meilleur ami, puis seul, avec son compagnon d'infortune, un autre otage français mais africain de coeur.

 

C'est une fiction mais extrêment réaliste ; pour avoir lu Même le silence a une fin, j'ai trouvé énormément de points communs entre les deux récits, notamment sur le côté humain de certains geôliers.

 

Seule la fin est un peu tirée par les cheveux et trop moralisatrice ; en effet, Kurt se pose la question de savoir comment sa femme a pu choisir de se suicider pour avoir raté un poste quand il y a tant de misère dans le monde. C'est ciomme dire aux enfants de finir leur assiette parce qu'il y a des enfants en Afrique qui meurent de faim. Mais personne de réfléchit ni n'agit dans sa vie par comparaison avec ce que les habitants des pays pauvres n'ont pas.

 

Malgré ce petit bémol, ce roman reste agréable à lire.


 

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Lecture en cours

 

 

                Vengeances

 

      Ce livre m'a été prêté par la librairie Chapitre à Orléans dans le cadre de leur Club de lecture

 

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