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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 18:04

du-domaine-des-murmures.gif

      "En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire "oui" : elle veut faire respecter son voeu de s'oofiri à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe. Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle souffelra sa volonté sur le fief de son père et son souffleparcourra le monde jusqu'en Terre sainte. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d'une sensualité prenante".

 

*****

 

Une qualité d'écriture exceptionnelle pour un roman qui se dévore du début à la fin.

 

A priori, en lisant la quatrième de couverture, ce roman ne semblait pas être fait pour moi car on pouvait s'attendre à un long monologue. Mais loin de là.

 

En effet, Esclarmonde, l'héroïne, est une jeune fille de 16 ans, rebelle, qui au mépris de la volonté de son père, renonce à l'amour des hommes pour se consacrer à Dieu.

 

Mais si cette jeune damoiselle est enfermée et ne peut sortir, pour autant il se passe plein d'évènements qui viennent pimenter sa vie de recluse. 

 

Certes l'histoire se passe en 1187 mais Esclarmonde possède tous les traits de caractère des jeunes filles modernes.

 

Le tout servi par un style fluide et hautement poétique qui font de la lecture de roman un pur moment de bonheur.

 

Bref, un pur chef d'oeuvre littéraire. Ne pas le lire serait pécher!!!!

 


 


 


 

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 05:43

a-la-trace.jpg

  "Chacun des protagonistes de ce roman aux intrigues apparemment distinctes laisse des traces. Toutes, à un moment donné, vont se croiser.

Milla, mère de famille qui plaque son foyer et rejoint l'Agence de Renseignements Présidentielle au moment où un groupuscule islamiste s'agite de manière préoccupante.

L'aventurier Lemmer qui protège le transfert à la fontière Zimbabwe de deux inestimables rhinos noirs.

Lukas Becker, l'archéologue aux prises avec les gangs de la plaine du Cap.

L'ex-flic Mat Joubert, devenu détective privé, chargé d'enquêter sur la disparition d'un cadre de l'Atlantic Bus Company.

Comparée à l'univers du polar américain (corruption, drogue, prostitution), la matière romanesque de A la trace qui allie "le monde animal inhérent à notre culture", des contrebandes pittoresques, l'émancipation des femmes, la culture gangsta des villes, frappe par sa richesse et sa diversité.

Déon Meyer est un des rares auteurs qui, tout en maîtrisant avec brio les règles du genre, ouvre grand le champ des problèmes contemporains de son pays".

 

*****

J'ai lu ce livre grace à Chapitre - Vos librairies partout en France d'Orléans qui m'a prêté ce livre dans le cadre du club de lecture créé pour les bloggeurs.


Il ne faut pas se laisser impressionner par le nombre de pages (720) car ce roman se lit très facilement et les pages défilent à une vitesse folle.

 

C'est un polar très original car ce sont quatre histoires différentes ayant chacune un lien avec une des précédentes. Et plutôt que de les raconter chacune en parallèlle par une alternance de chapîtres, l'auteur a choisi de bien les séparer et de leur consacrer une partie chacune. Je trouve ce choix rédactionnel très intéressant. Chaque histoire est assez courte ce qui ne laisse place à aucun temps mort dans la lecture. Et l'ensemble reste également très cohérent dans la mesure où on retrouve dans chaque histoire des élements d'une des précédentes.

 

Alors certes, la première partie est un peu ardue car il s'agit de poser l'ambiance : un contexte d'espionnage avec une agence qui pose des micros un peu partout. Mais les histoires suivantes sont passionnantes avec des personnages très sympathiques, très bien cernés et dotés d'une forte personnalité qui accroche le lecteur.

 

L'auteur a su regrouper dans un seul et meme roman une histoire d'amour, un véritable roman policier et une aventure "vétérinaire". Tout y est, il y a du suspens, de l'action et aussi  de l'amour .

 

Bref, j'ai beaucoup aimé cette lecture et je vous la recommande vivement.

 

      

 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 17:38

Ayant un peu trop chargé mon programme de février, je lis actuellement : 

 

Ce livre m'a été prêté par la librairie Chapitre - Vos librairies partout en France d'Orléans dans le cadre de leur Club de lecture.

 

Ensuite, mes bonnes résolutions se sont envolées et j'ai emprunté dans mes deux bibliothèques préférées :

Du domaine des murmures - Carole MartinezSneijderCouverture du livre Le parfum d'AdamLe Prince de la brume - Carlos Ruiz Zafon, François MasperoUn écart de conduite - Michèle HalberstadtImage par défaut

 

Sans oublier les nombreux livres que j'ai achetés mais toujours pas lus et tous ceux qu'on m'a prêtés....!!!!

 

Bref un mois de mars très très chargé. 

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 17:31

Quatre livres lus que j'ai décidé de classer par ordre de préférence :

 

1 - un gros coup de coeur :

 

2 - une belle découverte :

 

3 - une déception :

 

4 - une lecture sans intérêt :

 

Espérons que le mois de mars sera meilleur!!!!

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27 février 2012 1 27 /02 /février /2012 16:22

brooklyn.jpg

"Enniscorthy, sud-est de l'Irlande, années 50. Comme de nombreux jeunes de sa génération, Eilis Lacey, diplôme de comptabilité en poche, ne parvient pas à trouver du travail. Par l'entremise d'un prêtre, sa soeur Rose obtient pour elle un emploi aux Etats-Unis. En poussant sa jeune soeur à Partir Rose de sacrifie : elle sera seule pour s'occuper de leur mère veuve et aura peu de chance de se marier. Terrorisée à l'idée de quitter le cocon familial, mais contrainte de se plier à la décision de Rose, Eilis quitte l'Irlande. A Brooklyn, elle loue une chambre dans un pension de famille irlandaise et commence son existence américaine sous la surveillance insistante de la logeuse et des autres locataires. Au début le mal du payse la submerge, la laissant triste et solitaire. Puis, peu à peu, elle s'attache à la nouveauté de son existence. A son travail de vendeuse dans un grand magasin où les premières clientes noires font une apparition timide qui scandalise les âmes bien-pensantes, sauf Eilis, qui, dans sa petite ville d'oigine, n'a jamais connu le racisme. Au bal du vendredi à la paroisse du quartier. Aux cours du soir grâce auxquels elle se perfectionne en comptabilité. Dans ce rythme entre monotonie rassurante et nouveautés excitantes. Et quand Tony, un italien tendre, sérieux et très amoureux entre dans sa vie, elle est cobnvaincue que son avenir est tout tracé : elle deviendra américaine. Mais un drame familial l'oblige à retraverser l'Atlantique pour un séjour de quelques semaines en Irlande. Au pays, Eilis est devenue une femme à la mode, désirable, parée du charme des exilées. Brooklyn, Tony, la vie américaine se voilent de l'irréalité des rêves. Un nouvel avenir l'attend dans la bourgade de son enfance : un homme prêt à l'épouser, un travail. Deux pays, deux emplois, deux amours. Les possibilités inconciliables déferlent sur Eilis, lui infligeant cette petite mort que suppose l'impératif des choix".

 

*****

 

Ce roman, dont le résumé en quatrième de couverture raconte quasiment toute l'histoire, est très agréable à lire et procure un bon moment de lecture.

 

Le personnage d'Eilis est très attachant. Jeune fille vivant en Irlande dans l'ombre de sa soeur Rose, elle manque de confiance en elle et vit comme une âme solitaire, sans travail, passant ses journées auprès de sa mère. Elle est vouée à finir vieille fille.

 

Son départ pour les Etats-Unis et la nouvelle vie qui l'y attend vont en faire une jeune femme indépendante, sûre d'elle et du coup particulièrement attirante.

 

Le style de ce roman qui se lit très facilement est assez proche de celui de Douglas Kennedy et Tracy Chevalier, deux de mes auteurs favoris, ce qui explique peut être pourquoi cette lecture m'a plu.

 

Il n'y a pas d'action, on suit seulement la vie du personnage principal, une vie simple et sans accrocs mais pas inintéressante pour autant.

 

Mon seul petit bémol est que l'auteur n'a pas su équilibrer les différentes parties de ce roman : la première partie concernant la vie d'Eilis en Irlande est assez courte, juste ce qu'il faut pour poser l'ambiance et définir le caractère d'Eilis ; la deuxième partie concernant le départ d'Eilis et sa vie aux Etats-Unis est beaucoup plus longue et occupe la qusai-totalité du reste du roman, le retour au pays et le moment du choix entre ses deux vies n'occupant qu'une toute petite place en fin de roman. J'aurais aimé un peu plus de développement de cette troisième et dernière partie.

 

Mais cela n'enlève finalement rien au plaisir que j'ai eu à lire ce roman.

 

Bref, c'est une belle découverte!!!!

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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 15:18

rien-ne-s-oppose-a-la-nuit.jpg

"La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d'adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma soeur et moi, mais toute tentative d'explication est vouée à l'échec. L'écriture n'y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d'interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreuses hypothèses et commentaires. Les gens que j'ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l'ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre peut-être ne serait rien d'autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi cers eklle, hésitant et inabouti." Dans cette enquête éblouissante au coeur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux cotoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force".

 

*****

 

Ah que c'est agréable, après quelques lectures décevantes, de découvrir un merveilleux roman, une lecture enthousiasmante.

 

J'ai adoré ce roman qui est admirablement bien écrit. Il se lit très facilement, l'écriture est fluide et le rythme soutenu. A aucun moment on ne s'ennuie.

 

Les personnages y sont extrêmement bien décrits et on s'y attache fatalement.

 

On y découvre la vie de Lucile, cette femme dont l'enfance a été parsemée de drames et dont la vie d'adulte n'a pas été des plus joyeuses non plus, atteinte d'une très grave maladie.

 

Et c'est sa propre fille, victime indirecte de cette maladie qui nous raconte sa mère, sa vie, ses joies et ses peines, avec des mots très touchants même si parfois très durs.

 

Bref, ce roman m'a fait passer un très agréable moment de lecture et Delphine de Vigan n'a pas volé tous les louanges qui lui ont été faits.

 


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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 15:47

aleph.jpg

"Nous avons parfois besoin de retrouver un sens à notre vie, de lui redonner souffle et équilibre. Et si un livre avait le pouvoir de vous faire découvrir un monde nouveau? et si, grâce à la magie des mots et d'une histoire, vous commenciez un nouveau chapitre de votre vie? Aleph est ce livre. Aleph est un voyage qui pourrait bien changer votre existence"

 

*****

 

Alors je ne ferai qu'un bref commentaire sur ce livre.

 

Fidèle à ma bonne résolution de cette année 2012, je l'ai lu jusqu'au bout mais n'ai trouvé aucun intérêt à cette lecture. Je n'ai rien compris à l'histoire, un auteur qui voyage en train pour aller faire des dédicaces de son dernier roman et qui est accompagné d'une jeune fille qu'il aurait connue dans une "autre vie"...

 

Bref, je n'ai pas aimé du tout. 

 

 


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7 février 2012 2 07 /02 /février /2012 16:27

le-systeme-victoria.jpg

"Si David Kolski, architecte reconverti en directeur de travaux, avait renoncé à adresser la parole à cette inconnue croisée dans une galerie marchande, s'il lui avait dit : "excusez-moi , je suis désolé, je vous ai pris pour quelqu'un d'autre", s'il avait su qu'en abordant une femme de cette stature il entraînerait son existence dans une direction impossible, Victoria de Winter n'aurait pas trouvé la mort onze mois jour pour jour après leur rencontre. Aujourd'hui, elle serait encore vivante, David ne vivrait pas retiré dans un hôtel de la Creuse, séparé de sa femme et de ses filles. Il n'aurait pas été détruit par le rôle qu'il a joué dans ce drame ni par les deux jours de garde à vue qui en ont découlé. Seulement, le visage de Victoria s'est tourné vers le sien et David a aussitôt basculé dans sa vie"

 

*****

 

Une fois de plus j'ai été bernée par la quatrième de couverture qui annonçait une histoire mystérieuse, triste et sombre.

 

Mais en fait ce n'est qu'une histoire de c...  Il y a trop de scènes à caractère sexuel tant et si bien que le livre semble se résumer à cela, aux rendez-vous de David et Victoria dans des chambres d'hotel aux seules fins de coucher ensemble.

 

Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages que j'ai trouvé plutôt désagréables. En effet dès le début, David apparaît comme un homme particulièrement détestable : alors qu'il sait que sa femme l'attend chez lui avec ses enfants pour fêter l'anniversaire d'une de ses filles, non seulement il ne trouve rien de mieux à faire que de suivre une inconnue dans la rue amis en plus, une fois rentré chez lui il se permet de reprocher à sa charmante épouse d'avoir passé une bonne soirée sans lui avec leurs amis....!!!

 

Tout le roman est centré autour des deux personnages que sont David et Victoria et de leurs rencontres sexuelles. Il y a bien eu un petit chapitre sur la rencontre de David avec sa femme et un peu de leur vie ensemble, on devine même qu'elle est atteinte d'une maladie mais rien de plus et on reste sur sa faim.... pour repartir dans les ébats de David et Victoria.

 

En fait ce roman m'est apparu comme une caricature des relations adultères, Victoria jouant le rôle du vilain amant qui promet monts et merveilles à sa maîtresse pour faire durer la relation et David jouant le rôle de la pauvre maîtresse  qui se soumet aux bonnes volontés de son amant.

 

Bref, un roman que j'ai lu jusqu'au bout mais qui ne m'a pas plu du tout.

 


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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 10:17

J'ai décidé, afin de contrôler mes pulsions d'emprunt et d'achat de livres, d'établir tous les mois un planning de lecture et de m'y tenir. Vous trouverez donc ci-après les livres qui devront être lus dans le mois.

 

Actuellement je lis 


 

Ensuite, sont prévus :


 

Ce livre m'a été prêté par la librairie Chapitre - Vos librairies partout en France d'Orléans dans le cadre de leur Club de lecture

 

 

Et j'ai emprunté à ma bibliothèque préférée : 

 

 

 

Le programme est chargé mais j'espère bien m'y tenir.


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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 09:42

cyanure.gif

"Quelques jours avant Noël, sa petite amie, Lisette Liljecrona, invite Martin Molin (collègue de Patrick Hedström) à venir passer le weekend avec sa famille sur la petite île de Välo en Suède. L'idée ne l'enthousiasme guère et c'est à contrecoeur qu'il accepte de l'accompagner. Ses appréhensions se voient confirmées lorsqu'il fait la connaissance des Liljecrona. Avec plus ou moins d'élégance, tous s'acharnent à obtenir les faveurs du patriarche dont la fortune s'élève à plusieurs milliards de couronnes. Cette course à l'héritage tourne court lorsque le soir même, Ruben, déçu et furieux contre les membres de sa famille, affirme les avoir déshérités. Gagné par son emportement, le vieil homme meurt soudainement, vraisemblablement victime d'un malaise cardiaque. Une tempête de neige fait rage dans la région et les hôtes sont dans l'impossibilité de regagner le continent. Martin prend alors la situation en main et constate que Ruben a été empoisonné. Personne n'a pénétré dans la maison, le meurtrier est donc forcément parmi les convives. En les interrogeant, le jeune policier tente avec peine de déméler les vieilles rancoeurs familiales des pistes plus sérieuses. Seul Matte, l'un des petits-enfants de Ruben, semble sincèrement affecté par sa mort. Comme tous les moyens de communication avec l'extérieur sont coupés, Martin se retrouve livré à lui-même face à sept suspects. Bientôt un nouveau meurtre est commis. Le cadavre de Matte est retrouvé étendu dans sa chambre, une blessure par balle déchirant sa poitrine...Mêlant heureusement les influences de Conan Doyle et d'Agatha Christie, Camilla Läckberg nous offre dans ce spin-off une variation réjouissante et glaçante sur le roman policier classique"

 

*****

 

C'est avec joie que je me suis plongée dans ce roman, ravie de pouvoir retrouver l'univers de cet auteur que j'adore dans un roman où Erica et Patrick ne seraient pas, pour une fois, les personnages principaux.

 

Ce roman est très court, seulement 150 pages, et se lit ultra facilement. Mais l'intrigue manque un peu de piquant et finalement, même si la lecture en reste agréable, ce roman ne m'a pas emballée plus que ça.

 

Les personnages restent très superficiellement décrits et on a beaucoup de mal à les cerner.

 

Et le suspens n'est même pas vraiment au rendez-vous car à la lecture de certaines discussions entre les "suspects" on arrive assez facilement à en écarter certains de la liste des meurtriers possibles pour envisager assez vite une "arnaque". Il ne se passe pas vraiment grand chose et le final est assez mou, à l'image de tout le roman.

 

Camilla Läckberg nous avait habitués à mieux et ce roman s'apparente à une pâle copie des Dix petits nègres.

 

Cela étant, je reste une grande fan de cet auteur et je continuerai à lire ses romans (sauf si les prochains sont du même genre).

 

Bref, un roman agréable à lire mais sans plus. 



 

 


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Lecture en cours

 

 

                Vengeances

 

      Ce livre m'a été prêté par la librairie Chapitre à Orléans dans le cadre de leur Club de lecture

 

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